Je suis heureux de vous retrouver pour le second Ma jeunesse c’est… Le thème abordé est tout simplement Noël et les cadeaux que j’ai pu avoir (ou que j’aurais aimé avoir). Installez-vous confortablement, attachez votre ceinture et préparez-vous à prendre un coup de vieux ou à découvrir la bonne époque.

 

Ma jeunesse c’est : les GoBots.

Bien avant d’avoir les Transformers, j’ai eu la chance de pouvoir connaître la saga des GoBots. C’était des robots transformables dans le même principe que Transformers mais tout était vraiment en métal. Autant dire que ma petite sœur n’a jamais réussi à me les casser contrairement à d’autres jouets.

 

GoBots est une ligne de jouets robots similaires aux Transformers, produits par Bandai entre 1983 et 1986. Ils ont, par la suite, été adaptés à différents médias. La série était assez… cubique !

Originaires de la planète Gobotron, les GoBots, robots transformables en véhicules, se divisent entre les Gardiens dirigés par Leader et les Renégats dirigés par Cy-Clos. Le combat viendra sur Terre ou chaque camp aura des partisans, les renégats auront le vil docteur Braxis et les Gardiens, trois astronautes.

 

Ma jeunesse c’est : M.A.S.K.

MASK (M.A.S.K. ou Mobile Armored Strike Kommand / Module d’Action Secrète Kommando en français) est une série télévisée d’animation franco-américaine en 75 épisodes de 22 minutes, créée par Bernard Deyriès, Bruno Bianchi et Jean Chalopin. En France, la série a été diffusée à partir du 14 avril 1986 sur TF1 dans l’émission La Vie des Botes.

Cette série relate les aventures d’un groupe d’intervention spécial, le M.A.S.K. (Mobile Armored Strike Kommand : Commando Blindé de choc), qui lutte contre l’organisation criminelle V.E.N.O.M. (Vicious Evil Network of Mayhem). Les deux groupes s’affrontent grâce à des véhicules transformables et des casques aux pouvoirs spéciaux appelés « masques ».

Dans la série d’animation, au début de chaque opération, le chef du MASK, Matt Tracker, interroge un mini-ordinateur situé sur le tableau de bord de son bolide pour sélectionner les agents les plus aptes à remplir la mission. L’ordinateur fournit de 2 à 6 noms en mentionnant pour chaque identité les compétences et les métiers de chacun. Il ajoute pour chaque membre retenu un nom de code qui est soit le nom du masque de l’agent, soit le nom de son véhicule.

Mon jouet préféré restera malgré tout un véhicule de Venom : le Switchblade. Il s’agit d’un véhicule qui est soit hélicoptère soit avion.

 

Ma jeunesse c’est : Les chevaliers du zodiaque.

 

Je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup de vous en parler mais il existe un groupe d’irréductibles geekois qui résiste encore et toujours à l’ancien. Il faut savoir que les jouets n’étaient pas aussi bien articulé que maintenant et des fois c’était une horreur pour leur donner des poses sans que les armures ne tombent.

Rien n’a changé, je peux te rassurer !!

Je me souviens de mon Seiya qui a fini par avoir des problèmes d’articulations aux genoux. Impossible de le faire tenir debout, il était devenu un pantin désarticulé. Quand on voit la nouvelle génération, il y a vraiment un gouffre MAIS la qualité était meilleure, surtout au niveau de la peinture. Elle tenait plus longtemps et on pouvait vraiment jouer avec. Maintenant, 2-3 manipulations et la peinture commence à s’écailler (j’exagère mais on n’est vraiment pas loin). On passait aussi moins de temps à tout faire tenir même si on ne pouvait pas faire de jolie pause.

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Ma jeunesse c’est : Giraya

Je vois certains d’entre vous qui relisent le titre. Non, il ne s’agit pas d’une mauvaise orthographe d’un personnage de Naruto mais bel et bien une série des années 80. 

Depuis toujours, deux clans de ninjas s’affrontent : le clan Tokagure regroupe les « bons » ninjas. Le clan Dokusai regroupe les « mauvais » ninjas. C’est au cœur de cette lutte qu’un jeune homme nommé « Toha Yamashy » se créera une réputation de guerrier, sous le nom de « Giraya ».

Comme vous pouvez le voir dans la vidéo de la pub, les jouets avaient des armures et leur corps était tout mou et gluant. On passait le plus clair de son temps dans la salle de bain pour le laver au savon afin qu’il redevienne cotonneux et collant. Je ne vous cache pas qu’à la longue, le jouet s’effrite et commence à perdre des membres. Il ne nous restait plus que l’armure.

 

Ma jeunesse c’est : Fabuland.

 

 

Comment ne pas parler de LEGO. J’avais commencé à recevoir une gamme particulière de LEGO. À l’instar où certaines générations avaient des Duplos, nous on avait les Fabuland. Les notices d’instructions, outre les explications de montage, racontaient quelquefois l’histoire des personnages présents à l’intérieur. Les figurines avaient une taille intermédiaire entre les personnages de Duplo et les minifigurines. Elles représentaient des animaux humanoïdes, chacune ayant un nom. Et le pire c’est que je les aies toujours et ce sont mes enfants qui jouent avec. 

 

Ma jeunesse c’est : le mange disque Penny.

 

Je vais faire mon vieux. À l’époque, nous avions des disques qui se présentaient en 2 formats : le 33T et le 45T. Leur taille était différente et leur capacité mémoire aussi. Les 33T avaient donc beaucoup plus de chansons qu’un 45T.

 

Ma jeunesse c’est : les walkmans

 

Vous avez de nos jours les téléphones qui font office de lecteur de musique. Tout est dans votre carte mémoire ou sur une plateforme de diffusion. À mon époque, c’était tout autre. On avait des appareils à piles (avant d’en avoir à batterie).

En premier nous avions le baladeur cassettes (K7). C’était un appareil qui lisait les cassettes et nous passions notre temps à appuyer sur les boutons fwd et rwd pour passer ou remettre une chanson. 

Puis nous avons évolué. On est passé de la cassette au lecteur CD portable. Je pense que bon nombre d’entre vous doivent se rappeler du souci majeur… le CD qui saute à la moindre secousse. 

Puis il y a eu le lecteur MD (mini disc) mais qui n’a pas fait long feu, trop cher et pas beaucoup de support. 

Ces appareils nécessitaient qu’on se balade avec le lecteur, le casque, des piles de rechange et des K7, CD ou MD de rechange. On ne parlera pas de sujet tabou comme les solutions de copies. 

 

Je m’arrêterais là car il y a beaucoup de jouets et autres geekeries dont j’aurais aimé parler mais je vais vous perdre tellement il y a à dire. Je vous retrouverais prochainement pour un nouveau numéro de Ma Jeunesse c’est…